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17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 17:52

Tout se passe comme si, à l’abri d’un écran protecteur, aussi invisible qu’impénétrable, des évènements considérables se produisent, dont on ne parviendrait à saisir, à l’extérieur, que des fragments en ordre dispersés, inintelligibles parce que leur terrifiante cohérence intérieure se trouve occultée, rigoureusement maintenue en dehors de toute attention étrangère au secret central des choses qui s’y font et s’y défont et qui décident du sort de ce monde dans une obscurité extrême.

 

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Quel pourrait-être, en cette occurrence, le secret central qui promeut tout cet ensemble ? C’est la question à laquelle tente de répondre la vidéo que nous plaçons en fin d’article.

Vers la fin du document, le général de Gaulle parle d’une « Europe de la solidarité ». Nous en sommes bien loin. En 1949, de Gaulle, avait d’avance tout dit : « Il faut faire l’Europe avec pour base un accord entre Français et Allemand. Un fois l’Europe faite sur ces bases, alors on pourra se tourner vers la Russie. Alors on pourra essayer, une bonne fois pour toute, de faire l’Europe toute entière avec la Russie, dut-elle changer son régime. » La Russie a bien changé de régime, mais l’Europe a été infiltrée à son plus haut niveau décisionnel par les États-Unis et leur concept mortifère de mondialisme.

Ce qu’ils veulent aujourd’hui, c’est nous mener, par la guerre civile, au chaos destructeur final. Ce sera leur dernière carte pour imposer ensuite, à un monde terrifié et affamé, leur nouvel ordre, sans qu’aucune résistance ne puisse contrarier leurs plans. Une société reconfigurée pour le seul intérêt d’une oligarchie financière occulte, qui ne manquera pas de manipuler les catastrophes naturelles ou les attaques terroristes à grande échelle comme « outil de contrôle des populations » (1).

Cette conspiration mondialiste, ces séides du non-être, peuvent très certainement prétendre, à l’heure actuelle, d’être en état de tout verrouiller, de neutraliser toute velléité de résistance – cette prétention se trouvant posée dans les termes mêmes de la dialectique offensive de ses propres intérêts d’ensemble, de ses propres desseins, désormais à découvert, de domination planétaire. En fait, la conspiration mondialiste s’y croit déjà.

Peut-être commandent-ils en effets aux effets circonstanciels de l’histoire visible. Mais l’histoire n’est absolument pas la somme des circonstances : au contraire, c’est l’histoire qui décide, invente et impose irrationnellement les circonstances de sa propre marche en avant. Nous autres, comme l’écrit Jean Parvulesco, « nous commandons aux causes parce que ce sont les causes qui nous commandent directement.  Les causes invisibles, abyssales, eschatologiques et providentielles, les causes premières. » A la terreur de la raison mondialiste totalitaire, nous opposerons la ligne de front de l’irrationalité de l’histoire elle-même.

Aussi, pour conclure, provisoirement, il nous faut citer, ici, les lignes si extraordinairement prémonitoires des Mémoires du général de Gaulle écrivant, inspiré sans doute par ce qu’il appelait lui même le génie du renouveau : « Le destin est donc scellé ? Est-ce pour toujours, la victoire de la mort ? Non ! Déjà, sous mon sol inerte, je pressens le merveilleux de la lumière et de la vie ».

Frédéric Courvoisier, pour Mecanopolis



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     "La lutte politique qui aboutit à la victoire d'un candidat, avec, par exemple 51% de l'ensemble des voix des électeurs, conduit à un système dictatorial, mais sous un déguisement démocratique. En effet, 49% des électeurs sont gouvernés par un système qu'ils n'ont pas choisi, et qui, au contraire, leur a été imposé. Et cela c'est la dictature. Cette lutte politique peut aussi aboutir à la victoire d'un appareil ne représentant que la minorité, notamment lorsque les voix des électeurs se répartissent sur un ensemble de candidats dont l'un obtient plus de voix que chacun des autres considéré à part. Mais si l'on additionnait les voix obtenues par les « battus », cela donnerait une large majorité. Malgré cela, c'est celui qui a le moins de voix qui est proclamé vainqueur, et son succès est considéré comme égal et démocratique ! Mais en réalité il s'instaure une dictature sous des apparences démocratiques. Voilà la vérité sur les régimes politiques qui dominent le monde actuel. Leur falsification de la vraie démocratie apparaît clairement: ce sont des régimes dictatoriaux."   Mouammar KADHAFI

. "La démocratie directe, quand elle est mise en pratique, est indiscutablement et incontestablement la méthode idéale de gouvernement. Comme une nation, quelle que soit sa population, ne peut être rassemblée pour discuter, étudier et décider de sa politique, les sociétés sont détournées de la démocratie directe, qui est demeurée une idée utopique éloignée de la réalité. Elle a été remplacée par de nombreuses théories de gouvernement, telles que les assemblées parlementaires, les coalitions de partis, les référendums. Toutes ont conduit à isoler le peuple de l'activité politique, à usurper sa souveraineté, et à confisquer son pouvoir au profit d' « appareils de gouvernement » successifs et en conflit, qu'ils soient individu, classe, secte, tribu, Parlement ou parti."  Mouammar KADHAFI

. "La propriété pourrait bien changer de mains, le résultat serait le même: le travailleur demeure un salarié tant qu'il n'a pas été rétabli dans son droit sur sa propre production, et que celle-ci continue à être détournée au profit de la "collectivité" ou de l'employeur.La solution finale à ce problème consiste à abolir le salariat, par la libération de l'homme de l'asservissement dans lequel celui-ci le maintient." (Mouammar KADHAFI)

. "LE LOGEMENT est une nécessité pour l'homme et sa famille. Il ne doit appartenir à personne d'autre qu'à lui. Un homme n'est pas libre quand il habite une maison louée. En matière de logement, la politique suivie par les Etats a consisté à réglementer la location en bloquant ou en augmentant les loyers. La seule solution radicale et définitive est l'accession à la propriété. Dans la société socialiste, nul ne peut être maître des besoins de l'homme. Personne ne peut dans cette société, bâtir un logement autre que pour lui-même et ses héritiers. La maison de l'individu étant un de ses besoins fondamentaux, nul ne peut construire dans le but de louer."  Mouammar KADHAFI

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