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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 19:02

 En fait, Gustav Meyrink était un occultiste de très gros calibre. Ses connaissances en matière pétrolière sont déjà suspectes pour cette période. En outre, l’explosion est survenue un 20 avril, dix jours avant la nuit dite du Walpurgis, la « nuit des Elus », selon Gustav Meyrink. Voilà sans doute un fil conducteur sur lequel il faudrait se pencher. Comme sur ses relations avec Aleister Crowley, qui se faisait appeler « le grand Satan 666 ». C’est finalement en fréquentant de tels milieux que Gustav Meyrink écrit son roman, prétendant connaître l’apocalypse de demain…


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Gustav Meyrink (1868 – 1932)

Entre 1880 et 1890, beaucoup de personnalités et, parmi elles, quelques têtes des plus éminentes d’Angleterre se retrouvèrent pour former l’ "ORDRE HERMETIQUE DE L’AUBE DOREE" (The Hermetic Order of the Golden Dawn). Les membres du Golden Dawn étaient recrutés, en premier lieu, dans la Grande loge de la FRANC-MAÇONNERIE anglaise (loge mère) et dans l’ORDRE DES ROSE-CROIX. Ce Golden Dawn était, en quelque sorte, à la pointe de la franc-maçonnerie ésotérique anglaise de cette époque et constituait son noyau le plus intime et le plus secret.

Etaient, entre autres, membres :

[b]FLORENCE FARR ; W. E. YEATS, prix Nobel de littérature ; BRAM STOKER (auteur de Dracula) ; GUSTAV MEYRINK (auteur des livres Der Golem et Das Grüne Gesicht) ; ALEISTER CROWLEY (le magicien le plus connu des cent dernières années qui passa, plus tard, à la magie noire, fondateur de l’Église Thelema et franc-maçon 33ème degré du Rite écossais) ; RUDOLF STEINER (fondateur de l’anthroposophie, franc-maçon du 33ème degré du Rite Ecossais, dirigeant de la Société théosophique en Allemagne, grand maître de l’ordre des Illuminés "ORDO TEMPLI ORIENTIS" (OTO) et grand maître de la branche"MYSTERIA MYSTICA AETERNA". Il quitta, cependant, plus tard le Golden Dawn pour divergences de vues.

 

La Vidéo Australienne enlevée à la demande de B.P.

Partie 1

 

Partie 2

 

Dans une nouvelle parue ou écrite en 1903, Gustav Meyrink avait prédit le désastre du Golfe du Mexique. Rien de moins… On en parle grandement sur le web. La coïncidence est en effet troublante.
Il n’existe pas – à ma connaissance – de version française de sa nouvelle. Je l’ai donc traduite avec un non-plaisir évident… Je déteste traduire…
La version anglaise étant déjà  une traduction de la version allemande, les coquilles sont  nombreuses au départ, et l’écriture de Meyrink (du moins en anglais) est un peu … à l’image de l’homme. Et à l’image de la littérature d’alors.
Je qualifierais ce texte de Science-fiction plutôt que de prophétie. Il n’en reste pas moins que plus d’un siècle plus tard, cette histoire de savant fou aurait pu avoir pour « héros » Bristol Pétrovite… (sic).
Il vaut la peine de s’y attarder pour constater la grande évolution de l’Humanité en certains points. (sic).
Mais pour remettre les pendules à l’heure et à ceux qui ne peuvent lire en anglais, voilà l’occasion de vous faire une opinion sur le « prophète »… Et réfléchir à l’avenir d’une planète laissée aux mains de commerçants sans envergure et de  politiciens  dont les liens sont trop nombreux avec les marchants de « mort ».

 

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Pétrole, pétrole

Pour vous assurer que je suis reconnu comme étant le premier
qui ait eu cette prophétie, je note que l’histoire qui suit a été écrite en 1903.

Gustav Meyrink

C’était un vendredi midi – que le Dr Kunibald Jessegrim versa lentement la strychnine dans le courant d’eau. Un poisson apparut à la surface – mort – avec le ventre en l’air.
« C’est comme ça que tu serais mort», se dit Jessegrim et il s’étira – content d’avoir rejeté les pensées de suicide avec le poison.
Trois fois dans sa vie, il avait déjà vu la mort dans les yeux de cette façon, et chaque fois il a été freiné par le sentiment qu’il allait encore être appelé à faire de grandes choses – une grande vengeance – qui l’enchaînait à la vie.
La première fois qu’il voulut mettre fin à sa vie, fut au moment où ils ont volé son invention, et dix ans plus tard, quand ils l’ont chassé de son emploi parce qu’il n’a pas cessé de poursuivre et d’identifier le voleur de son invention, – et maintenant, parce que, parce que…
Kunibald Jessegrim gémit quand la pensée de son grand chagrin se raviva.
Tout avait disparu – tout ce à quoi il tenait – tout ce qu’il avait gardé de précieux et cher. Et que les aveugles, les étroits d’esprit, haine sans fondement, d’une foule enflammée par des slogans, qui était contre tout ce qui le différenciait des autres.
Toutes les choses qu’il avait faites, inventé et proposées. Il avait à peine commencé, qu’il dut s’arrêter. Devant lui, une «muraille de Chine» : l’amour des gens et le mot : «mais »…
«Fléau de Dieu» ! Oui, c’est le nom du salut. Bon Dieu !, Tout-Puissant !! Permettez-moi d’être un destructeur – un Attila ! La colère enflamma le cœur de Jessegrim.
Timur Lenk, le Gengis Khan, traversant l’Asie et dévastant les terres agricoles de l’Europe, avec son règne Mongol – les dirigeants Vandal qui ne peuvent que trouver la paix sur les ruines des œuvres d’art romaines, ils étaient tous ses semblables -, forts, frères sauvages, nés dans un nid d’aigle.
Un amour immense pour ces créatures du Dieu Shiva se réveilla en lui.. Les fantômes de ces morts seront avec moi, et une entité différente investit son corps, en un éclair.
Si, à ce moment, il avait pu voir dans un miroir, les merveilles de la transformation, ça n’aurait pu demeurer un puzzle. Ainsi, les forces obscures de la chute investissent le sang de l’homme – profondément et rapidement.
Le Dr. Jessegrim possédait un grand savoir – il était chimiste, et était doté d'une grande vigueur.
En Amérique, ces gens-là ont du succès. Il n’est pas étonnant qu’il eût tôt énormément d’argent, voire une fortune.
Il s’était installé à Tampico au Mexique, et à par le mezcal, une nouvelle drogue, utilisée dans le commerce de stupéfiants et de marchandises médicales dont il connaissait la façon de la préparer chimiquement, il fit des millions. Il possédait de nombreux milles carrés de terres autour de Tampico, et l’énorme quantité de puits de pétrole portaient la promesse d’augmenter sans mesure sa fortune.
Mais ce n’était pas ce que son cœur désirait.

Le Nouvel an arriva au pays.
«Demain sera le premier janvier 1951, et les Créoles auront encore une raison pour se saouler et danser le Fandango pendant trois jours, se dit le Dr Jessegrim, admirant la mer silencieuse de son balcon.

Et en Europe, ce ne sera pas beaucoup mieux. À cette époque, déjà, les journaux qui paraissent en Autriche sont deux fois plus gros et quatre fois plus bêtes que la normale. » La nouvelle année dépeinte comme un nouveau-né, un calendrier de femmes avec des ailes et de cornes d’abondance, des curiosités statistiques: que le mardi à 11.35.16 heures, exactement 9 milliards de secondes se seront écoulées, depuis que l’inventeur de la comptabilité à double entrées ferma les yeux pour un repos éternel bien mérité, et ainsi de suite… »
Le Dr. Jessegrim s’assit un long moment, regardant la mer immobile qui brillait d’une singulière manière dans le ciel étoilé.
Jusqu’à ce que l’horloge sonna minuit. Minuit !

Il sortit sa montre et en remonta le mécanisme lentement, jusqu’à ce que du bout des doigts il ressentit la résistance du remontoir. Doucement, il le pressa. Puis de plus fortement. Il y eut un faible crépitement, et le ressort se brisa. La montre s’arrêta.
Le Dr. Jessegrim émit un rire sarcastique. : « Comme cela, je veux également à briser vos ressorts, vous, les précieux ! »
Une terrible explosion secoua la ville. Le bruit vint de loin, du sud, les capitaines en supputèrent l’origine du phénomène situé dans le voisinage de la grande péninsule – entre Tampico et Veracruz. Personne n’avait vu de feu – les tours d’éclairage ne donnèrent également aucun signal. Tonnerre ? En ce moment ? Maintenant ? Avec un ciel clair ! Impossible !
Ce doit être un tremblement de terre.

Tout le monde se signa, – seuls les barmen jurèrent, pendant que tous les invités quittèrent les bars et allèrent dans les collines de la ville où ils s’échangeaient des histoires effrayantes.
Le Dr. Jessegrim ne prit garde de ce fait. Il alla dans son bureau et bredouilla quelque chose comme: « Adieu, Tyrol ! Mon pays…
Il était de bonne humeur et a pris une carte dans le tiroir, créa un cercle avec un compas sur celle-ci, en le comparant avec son carnet de notes, et fut satisfait que tout fut parfait : la région pétrolière étirée jusqu’à Omaha, peut-être même plus au nord, il n’y avait plus de doute sur le sujet. Et il savait que les champs de pétrole formaient des lacs souterrains aussi grands que la baie d’Hudson.
Il le savait, car il l’avait calculé. Depuis douze ans qu’il travaillait sur le sujet.
L’ensemble du Mexique, à son avis, était campé sur des grottes à l’intérieur de la terre, lesquelles, pour la plupart, du moins elles remplies de pétrole, étaient reliés les uns aux autres.
Supprimer les murs qui subsistant entre les grottes un après l’autre était devenu l’œuvre de sa vie. Pendant des années il avait employé de grandes troupes de travailleurs pour ce faire – et à quels coûts !

Les millions qu’il avait gagnés avec le commerce de mezcal, avaient été consacrés à ce projet.
S’il avait trouvé un puits de pétrole, ça aurait été terminé. Le gouvernement aurait, bien sûr, mis en fourrière les explosifs. Il ne fut jamais coopératif, de toute manière.
Ce soir, les derniers murs entre les grottes s’effondreront dans la mer, à la péninsule, et les plus au nord, à San Luis Potosi.
Les dispositifs de commande automatique s’occuperont des explosions.
Le Dr. Kunibald Jessegrim mit les derniers billets restants de mille dollars dans sa poche, et se rendit à la gare. – À quatre heures du matin, un train express irait à New York. Qu’est-ce qui le retiendrait au Mexique ?

Voilà, c’était déjà dans tous les journaux – le télégramme d’origine à partir des villes côtières du golfe du Mexique dans les abréviations de l’International Cable-Code: « Ephraïm Kalbsniere Beerenschleim », qui signifie grosso modo: « mer entièrement recouverte de pétrole, cause inconnue, tout pue, sur la longueur et la largeur. Le gouverneur de d’État. »
Les Yankees se montrèrent très intéressés, parce que l’événement devrait, sans aucun doute, avoir un gros impact sur le marché boursier et les prix du pétrole, – les transferts des richesses occupant la moitié de la vie… Les banquiers de Wall Street, interrogés par le gouvernement à savoir si l’événement entraînerait une hausse ou une baisse des prix des actions, haussaient les épaules et a refusaient de commenter avant que la cause de l’événement ne soit connue. Alors, parfait, si on ferait le contraire de la population qui a investi dans le marché boursier – ce dont la logique commande, on pourrait faire beaucoup d’argent.

Le message n’avait aucun grand impact sur les gens en Europe – tout d’abord, ils étaient protégés par des droits de douane et deuxièmement, de nouvelles lois étaient en élaboration, qui en présentant une limite volontaire prétendue de trois ans sur le nombre de conscrits, combinés avec l’abolition des noms de famille d’individus masculins, alimenterait le patriotisme et devrait faire le devoir militaire, une tâche plus convenable.

Pendant ce temps, le pétrole coulait, exactement comme le Dr Jessegrim l’avait calculé, sans problème, des grottes souterraines au Mexique, dans la mer formant une couche brillante, devenant plus grande et plus dense, entraîné par le Gulf Stream, couvrit tôt le golfe en entier.

Les rives devinrent arides, et la population se retira vers l’intérieur du pays, vers les villes florissantes !
Aussi, la vue du lac était extrêmement plus belle, un espace sans bornes, brillant et scintillant de toutes les couleurs : rouge, vert et violet, aussi profond et noir que la fantasmagorie des étoiles.
L’huile paraissant plus épaisse que le pétrole, elle n’afficha, par son contact avec l’eau de mer salée, aucun autre changement que celui d’une perte progressive d’odeur.
Les savants prétendirent qu’une étude précise des causes de ce phénomène serait d’une grande valeur scientifique, et que la réputation du Dr Jessegrim dans le pays – du moins en tant que professionnel et un expert des réserves de pétrole du Mexique – était nécessaire, ils n’oublièrent pas de lui demander son avis.
Ce fut court et affable, même si il ne couvrit pas le sujet de la manière dont ils s’attendaient : « Si le pétrole continue de s’écouler au même rythme que précédemment, d’après mes calculs, d’ici 27 à 29 semaines, tous les océans sur Terre en seront couvert et, conséquemment, cessera toutes précipitations dans le futur. L’eau ne pourra plus s’évaporer. Dans le meilleur des scénarios, s’il pleut, il ne pleuvra que du pétrole.

Cette prophétie frivole a déclencha une tempête de désapprobation, mais elle acquit de plus en plus de crédibilité le jour même. Le flux, d’abord quasi invisible ne sembla pas ralentir, au contraire, il augmenta d’une manière assez extraordinaire : la panique s’empara de l’humanité.
Chaque heure, des nouvelles rapportées des observatoires de l’Amérique et de l’Europe pouvaient être lues, oui, même l’observatoire de Prague, qui jusque-là avait seulement photographié la lune, commença progressivement à se tourner vers l’étrange et nouveau phénomène.
Dans l’Ancien Monde, personne ne parlait du nouvel Army Bill, et le père du projet de loi, employé dans une armée européenne, le major Von Dressel Knight Glubinger ab Zinkski auf Trottelgrün, fut complètement oublié.

Comme toujours, en période de confusion, lorsque des signes de menace de catastrophe apparaissent dans le ciel, la voix des esprits sans repos se révélèrent jamais satisfaits de ce qui existe, osant toucher les vénérables institutions: « Éloignez l’armée, qui mange, mange, mange notre argent ! Il est préférable de construire des machines, d’inventer des moyens pour sauver l’humanité du pétrole » Mais nous ne pouvons pas faire cela, avertirent les militaires. On ne peut pas priver d’un seul coup des millions de gens de leur moyen de subsistance.
« Pourquoi sans gagne-pain ? Les troupes doivent seulement être renvoyées – après tout, chacun d’entre eux a appris quelque chose, même si ce n’est que des travaux inférieurs, » fut la réponse.
« Eh bien, va pour les troupes ! – Mais que faisons-nous avec les nombreux officiers ? »

C’est un argument de poids.
Pendant longtemps, les opinions furent échangées, sans qu’aucune partie ne pût prendre le dessus, jusqu’à ce qu’un message codé parvint de New York : « Stachelschwein pfundweise Bauchfellentzündung Amerika», pouvant être traduit par : «Les puits de pétrole ne cessent gonfler, situation extrêmement dangereuse. Télégraphier immédiatement si l’odeur, là-bas, est insupportable. Salutations! Amérique. »

C’était le comble !
Un orateur populaire – un fanatique sauvage – se leva, – puissant, fascinant – et conduisit par la puissance de son discours, le peuple vers des pensées et des actes aliénés.
« Libérer les soldats – arrêtez ce scénario. Que les officiers se rendre utiles pour une fois ! Donnons-leur de nouveaux uniformes, ça les rendra heureux – pour ce que j’en ai à cirer, des grenouilles vertes avec des taches rouges. Et au bord de la mer avec eux, là, ils doivent ramasser le pétrole avec du papier buvard, pendant que l’humanité contemple la façon de contrôler cette terrible calamité. »

La foule applaudit.
Les idées que ces mesures pourraient n’avoir aucun effet, que le problème pourrait être mieux résolu par des produits chimiques, ne trouvèrent pas des partisans.
« Nous savons, nous savons tout », – dirent-ils. Mais alors que faire avec les nombreux officiers inutiles, – hein ?
______
P.S. : C’est un peu long, ou très long, mais on annonce de la pluie. Nous sommes tellement habitués à l’écoute du temps bien tranché en quart de minutes…

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     "La lutte politique qui aboutit à la victoire d'un candidat, avec, par exemple 51% de l'ensemble des voix des électeurs, conduit à un système dictatorial, mais sous un déguisement démocratique. En effet, 49% des électeurs sont gouvernés par un système qu'ils n'ont pas choisi, et qui, au contraire, leur a été imposé. Et cela c'est la dictature. Cette lutte politique peut aussi aboutir à la victoire d'un appareil ne représentant que la minorité, notamment lorsque les voix des électeurs se répartissent sur un ensemble de candidats dont l'un obtient plus de voix que chacun des autres considéré à part. Mais si l'on additionnait les voix obtenues par les « battus », cela donnerait une large majorité. Malgré cela, c'est celui qui a le moins de voix qui est proclamé vainqueur, et son succès est considéré comme égal et démocratique ! Mais en réalité il s'instaure une dictature sous des apparences démocratiques. Voilà la vérité sur les régimes politiques qui dominent le monde actuel. Leur falsification de la vraie démocratie apparaît clairement: ce sont des régimes dictatoriaux."   Mouammar KADHAFI

. "La démocratie directe, quand elle est mise en pratique, est indiscutablement et incontestablement la méthode idéale de gouvernement. Comme une nation, quelle que soit sa population, ne peut être rassemblée pour discuter, étudier et décider de sa politique, les sociétés sont détournées de la démocratie directe, qui est demeurée une idée utopique éloignée de la réalité. Elle a été remplacée par de nombreuses théories de gouvernement, telles que les assemblées parlementaires, les coalitions de partis, les référendums. Toutes ont conduit à isoler le peuple de l'activité politique, à usurper sa souveraineté, et à confisquer son pouvoir au profit d' « appareils de gouvernement » successifs et en conflit, qu'ils soient individu, classe, secte, tribu, Parlement ou parti."  Mouammar KADHAFI

. "La propriété pourrait bien changer de mains, le résultat serait le même: le travailleur demeure un salarié tant qu'il n'a pas été rétabli dans son droit sur sa propre production, et que celle-ci continue à être détournée au profit de la "collectivité" ou de l'employeur.La solution finale à ce problème consiste à abolir le salariat, par la libération de l'homme de l'asservissement dans lequel celui-ci le maintient." (Mouammar KADHAFI)

. "LE LOGEMENT est une nécessité pour l'homme et sa famille. Il ne doit appartenir à personne d'autre qu'à lui. Un homme n'est pas libre quand il habite une maison louée. En matière de logement, la politique suivie par les Etats a consisté à réglementer la location en bloquant ou en augmentant les loyers. La seule solution radicale et définitive est l'accession à la propriété. Dans la société socialiste, nul ne peut être maître des besoins de l'homme. Personne ne peut dans cette société, bâtir un logement autre que pour lui-même et ses héritiers. La maison de l'individu étant un de ses besoins fondamentaux, nul ne peut construire dans le but de louer."  Mouammar KADHAFI

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